Lesliere19 : Souvenirs – Escorte Occasionnelle, Suite 3

Leslie RE19 – Les récits érotiques
Souvenirs – Escorte occasionnelle, suite 3

Rentrée chez elle, elle prit le temps de mettre l’argent dans une petite boîte en pensant qu’en deux nuits elle avait gagné plus d’argent qu’en une semaine de photographies et ce sans compter les quatre prestations d’escorting normales et celle-là qui lui seront payées par l’agence en fin de mois.
Elle avait vendu son corps et n’en avait pas souffert, et avait même prit du plaisir, alors pourquoi ne pas continuer ne serait-ce qu’un moment.

Les jours qui suivirent furent chargés car chaque jour son téléphone sonnait pour lui annoncer un nouveau contrat, ainsi elle accompagna un après-midi une dame âgée étrangère pour faire les grandes maisons de luxe, ainsi que cinq hommes dans des soirées privées dont deux de ces soirées se terminèrent dans le lit d’un des invités du client et un week-end avec un client sur un yacht privé au large de la corse.
Si bien qu’à la fin du mois avec ses douze contrats d’escorte, et les suppléments privés payés directement, Sylvie (Caroline) se retrouvait avec plusieurs milliers d’euros dans sa boite, elle n’avait jamais gagné autant d’argent en si peu de temps
Et encore, elle aurait pu, mais cela n’avait jamais partie de ses pratiques et ne la tentait pas de commencer, accepter un soirée bondage payée double du tarif normal, Sylvie avait d’ailleurs précisé à Madame Parker qu’elle ne ferait jamais ce genre de prestation et qu’il était inutile de lui en reproposer.
Sylvie, pour donner suite à ses prestations avaient reçu, via Madame Parker, les éloges de ses clients, elle avait en plus quatre réservations de certains pour le mois prochain, ce qui fait qu’elle entrait dans le top dix de l’agence.

Le mois suivant fut bien chargé, Sylvie enchainant les rendez-vous qui furent pour la plupart des rencontres de sexe, certains jours dès le matin elle rencontrait un premier client, puis deux autres dans l’après-midi et un autre le soir pour finir la journée, ce qui fait qu’en fin de mois elle avait assuré six escorting en soirée dont deux complètes, un week-end complet à Barcelone avec un couple libertin et pas moins de soixante-deux rendez-vous galant.

Un mois de folie et en regardant la boite remplie de billets, elle se dit qu’à ce rythme il lui en faudrait bientôt une deuxième.

Les deux mois suivants, Caroline enchaina au même rythme les contrats, elle ne se posait plus de question, le rendait au rendez-vous, remplissait le contrat avec la plus grande attention en essayant de prendre le plus de plaisir possible, ce qui plaisait au client, si-bien qu’au bout de trois mois d’activités, la moitié de ses clients était des habitués.
Elle savait aussi que dans ce genre d’accompagnement d’escorte, elle devrait dans ses prestations donner le maximum d’elle, elle savait donc qu’accepter la sodomie faisait partie d’une des prestations incontournables si jamais un client lui demandait de faire une prestation complète et qu’elle acceptait.
Elle savait, depuis toujours, que cela faisait fantasmer les hommes et que depuis qu’elle faisait l’escorte monnayer cet acte lui rapportait à chaque fois une belle somme d’argent.
Et maintenant accepter cet acte ne lui posait plus aucun problème, d’autant qu’elle en tirait le plus souvent du plaisir, mais elle était consciente qu’elle avait de la chance de n’avoir pas encore rencontré de client super membré…

Une fois quand Madame Parker lui téléphona pour lui indiquer un rendez-vous avec un client, celle-ci fut précise sur les modalités de la rencontre.
En fait, elle devait se rendre dans une chambre d’hôtel de luxe, payée à l’avance par l’agence, et attendre le client dans une tenue spéciale, pour une prestation spéciale elle aussi.
Madame Parker lui fit comprendre à demi-mot qu’elle devait être en sous-vêtements les plus sexy et aguichants possibles, l’intimité anale pluggé et prête. En deux mots on lui faisait comprendre l’exigence du client qui désirait sodomiser une belle escorte en petite tenue. Bien évidemment, elle n’avait pas de souci à se faire, cette prestation serait largement rémunérée, mais ce client étant un des plus fidèle et des plus généreux de l’agence il fallait le satisfaire au mieux…
C’était la première fois que la directrice lui parlait ainsi au téléphone et Caroline en fut surprise, mais elle ne se posa pas plus de question, le rendez-vous était prévu dans deux heures et elle avait juste le temps de se préparer.

Elle fonça dans la salle de bains et passa vingt minutes dans un bain chaud, elle vérifia son épilation en se disant qu’il faudrait qu’un jour elle songe à l’épilation définitive, son esthéticienne lui en ayant déjà parlé, et une fois séchée se passa un lait corporel sur tout le corps, pour rendre sa peau soyeuse. Elle prit soin d’huiler ses grandes lèvres et l’entrée de sa chatte, fit de même avec son anus et se rentra un plug anal. C’est le dernier qu’elle ait acheté il y a trois jours et c’est la première fois qu’elle va l’utiliser, ce Butt Plug en aluminium et en silicone qui, d’après la vendeuse garantit des sensations extraordinaires dans l’anus grâce à son importante masse et à sa forme ovoïdale, Caroline pense qu’elle l’a certainement essayé.
La vendeuse avait aussi rajouté :
- Il est lourd et muni d’un socle en silicone dont la forme épouse la raie des fesses et garantit un bon maintien en toutes circonstances et toute discrétion, tu vas avoir et savourer des plaisirs anaux inouïs et ce où tu veux et quand tu veux, mais aussi toute la journée si tu le désires. Il te donne vraiment la sensation d’être complètement fourrée.
Après se l’être introduit, constatant qu’il était gros, elle fut heureuse d’avoir acheter que celui de soixante millimètres, les autres plus gros n’auraient pu prendre place que difficilement en elle…
Elle fit quelques pas dans sa chambre et constata que la vendeuse ne lui avait pas menti, des ondes traversaient son corps à chaque pas…
En suite elle s’habilla, un string rouge fendu en dentelles, le porte-jarretelle assorti et des bas fumés, puis le soutien-gorge seins nus assorti, ainsi elle était prête pour attendre son client.
Afin d’être correctement habillée pour se rendre à l’hôtel et accéder à la chambre, elle passa une robe blazer moulante blanche à manches longues, sexy juste ce qu’il faut et mit des escarpins blancs aux talons de dix centimètres.

Un taxi, étant commandé par l’agence, cinq minutes avant elle se regarda dans le miroir de l’entrée, prit son sac baise en ville, avec le nécessaire pour cette rencontre, ramassa ses clefs et sortis de l’appartement, puis ferma la porte de l’appartement pour descendre trois étages plus bas….
Le taxi attendait en bas de chez elle et trente minutes plus tard il s’arrêtait devant l’hôtel, rue de la paix, où un concierge s’empressa de lui ouvrir la portière de la paix.
Elle récupérait, à l’accueil de l’hôtel, la clé-magnétique de la chambre, prit l’ascenseur et rentrait dans la chambre où trônait un lit King size. La chambre était baignée grandes baies vitrées donnant sur la paisible cour intérieure de l’hôtel. Les autres prestations courantes dans ce genre d’établissement donnaient un côté luxueux à cette chambre.
Sur petite table ronde trônait un seau à champagne où une bouteille de Ruinart rosé rafraichissait et deux flûtes n’attendaient que le moment d’être remplies.
Après s’être mise à l’aise en retirant sa robe blazer et être ainsi dans la tenue demandée par le client, elle ouvrit la bouteille et se servit une flûte, comme pour passer le temps de l’attente et aussi de donner du courage avant de vivre une expérience encore inédite…

Peu de temps après, elle entendit cogner à la porte de la chambre et alla ouvrir pour se retrouver devant un homme élégant d’une quarantaine d’années, elle le fit entrer et il la regarda avec beaucoup d’attention et elle vit dans ses yeux la satisfaction pour la tenue qu’elle portait.
Il la salua et se servit, après s’être mis à l’aise, une flûte de champagne afin de trinquer avec elle et de sa main libre il sortit de la poche intérieure de sa veste, posée sur le dossier d’une chaise, une enveloppe qu’il posa sur la table près du seau à champagne.
Voyant qu’elle daignait vérifier le contenu de l’enveloppe, il parut flatter de la confiance qu’elle lui témoignait, alors il s’approcha d’elle et l’attrapa par la taille pour la coller à lui. Sa bouche se posa sur ses lèvres pour un baiser doux et sensuel.
Sous l’effet de la surprise, elle se laisse faire, puis pose une main sur son torse et une sur sa nuque et lui rend son baiser. Elle ne sait combien de temps dura ce baiser, amis quittant ses lèvres, il lui dit :
- Vous embrassez divinement bien !
Puis la prenant par la main, il rajoute :
- Venez m’aider pour ma toilette intime.

Elle le suit à la salle de bains où il se déchausse et se déshabille, elle constate qu’il est peu poilu avant de l’aider à ôter son caleçon. Son sexe a commencé à grossir, mais il ne bande pas encore et commence sa toilette. Elle sent son corps se tendre au contact de ses mains. Et elle s’applique pour démarrer une belle prestation en prenant bien son temps, n’étant pas circoncis, il lui faut décalotter le gland pour qu’il soit bien propre, et enfin elle le rince.
Elle à juste le temps de le regarder dans les yeux avant qu’il ne pose une main sur sa nuque, lui faisant comprendre ce qu’elle doit faire.

A suivre…